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Enormous male orangutan, waist-deep in a river

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  • natgeo Photo by @Jayaprakash_bojan | After over 11,000 photo submissions from around the world, our panel of judges has named the 2017 National Geographic Nature Photographer of the Year! Jayaprakash Joghee Bojan of Singapore is this year’s grand prize winner for his stunning shot of an enormous male orangutan, waist-deep in a river, shyly peeking from behind a tree. Our judges were impressed by how the poignant image spoke to the impact deforestation is having on the habitat of this critical endangered species. See all of this year’s spectacular award-winning photos at ‪natgeo.com/photocontest‬ (link in profile).

La chouette et la fille

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Il était une fois, dans une forêt dense et enneigée, une chouette extraordinaire du nom de Lumi. Lumi était différente des autres chouettes. Elle était plus grande, plus sage et avait des plumes d’un gris et blanc éclatant, presque aussi brillant que la neige qui recouvrait la forêt en hiver. Mais ce qui rendait Lumi vraiment unique, c’était sa compassion pour les créatures de la forêt, en particulier pour les êtres humains.

Un jour, alors que la neige tombait en abondance, une jeune femme du nom d’Elsa se retrouva perdue dans la forêt glaciale. Elle avait été prise dans une tempête de neige soudaine et avait perdu sa route. Frigorifiée et épuisée, elle s’effondra au pied d’un grand chêne, à bout de forces.

C’est alors que Lumi, la chouette, survola la forêt à la recherche de nourriture. Elle repéra Elsa, immobile et recouverte de neige. Lumi savait qu’elle devait agir rapidement pour la sauver. La chouette atterrit doucement à côté d’Elsa et, déployant ses ailes d’une envergure impressionnante, les étendit au-dessus d’elle comme un abri protecteur contre les éléments. Ses plumes blanches se resserrèrent autour de la jeune femme, la protégeant du froid glacial de la tempête.

Lentement, la chaleur de Lumi commença à se diffuser vers Elsa. Ses yeux clignèrent, puis s’ouvrirent lentement. Elle se sentit enveloppée dans une chaleur apaisante et réalisa qu’elle était en sécurité. Elle serra la chouette dans ses bras pour la remercier, et Lumi se laissa caresser, appréciant la douceur du geste.

Elsa et Lumi partagèrent un moment de connexion profonde. La chouette, avec ses sages yeux dorés, sembla dire à Elsa de ne pas avoir peur. En utilisant sa chaleur corporelle et son abri protecteur, Lumi permit à la jeune femme de se remettre de l’évanouissement.

Finalement, Elsa se sentit suffisamment forte pour se lever, remercier la chouette et reprendre sa route. Lumi l’accompagna un bout de chemin, la guidant hors de la forêt jusqu’à ce qu’Elsa retrouve sa route vers la sécurité.

À partir de ce jour, Elsa garda un souvenir chaleureux de la chouette exceptionnelle qui l’avait sauvée de la neige et du froid. Elle partagea cette histoire avec les autres, rappelant à tous que même les créatures les plus inattendues de la nature peuvent être des anges gardiens lorsque l’on en a le plus besoin. Et Lumi, la chouette blanche au cœur généreux, continua à veiller sur la forêt et ses habitants, prête à protéger et à offrir sa chaleur à ceux qui en avaient besoin.

Photo de: Katerina Plotnikova

Couleurs du Sahara

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Source: Natgeo

The Ruth Gorge in Alaska

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The Ruth Gorge in Alaska is home to some of the biggest granite walls in the world, the most pristine blue glacial pools, and yet some of the most unpredictable and inclement weather. This summer the window wasn’t right to attempt the first free ascent of Mt Dickey, so friends and climbing partners @alexhonnold (pictured here) and Renan spent most of their time stuck in a soggy tent discussing some of life biggest questions. The result is a short film we made called Life Coach, a vulnerable portrait of the realities of adventure filmmaking and the challenges of balance and passion that we all face as humans. Search « Life Coach Renan » online to find the link to the film! ~ @freddiewilkinson @rudy.le @landonbassett

natgeoPhoto by @renan_ozturk // Words by @taylorfreesolo //

Diane Kruger

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Rencontre avec Diane Kruger, bouleversante dans « In the Fade »

Entre Hollywood et Paris, Diane Kruger avait presque oublié d’où elle venait. Son premier film allemand, « In the Fade », lui a valu le prix d’interprétation à Cannes et l’a fait renouer avec son pays. Elle est devenue Katja, qui voit mourir son mari et son fils dans un attentat raciste. Un rôle qui a durablement bouleversé l’actrice.

  • Lachlan Bailey pour Vogue Paris
    La rencontre n’a rien de solennel. Diane Kruger est en shooting, un matin de novembre, à Paris.L’endroit trouvé par la production est un grand appartement presque vide du 2ème arrondissement, un appartement sans attaches.Idéal pour servir de set à des photographes.On se souvient l’avoir rencontrée en 2009, pour Vogue,à un moment où il se passait quelque chose dans sa «carrière»(on met le mot entre guillemets car chaque fois qu’elle l’utilise en vous parlant, elle ne peut s’empêcher de retenir un sourire) :elle venait de jouer pour Tarantino Inglourious Basterds, la presse intergalactique s’accordait à dire qu’elle y était géniale, sa présence ne souffrait aucune contestation. Pour l’entretien, elle avait pourtant choisi un petit café absolument normal et anonyme.Ce matin-là, l’intelligence, la lucidité qu’elle avait envers le métier d’actrice ou celui de mannequin nous avaient sidérés.Normale et sans attaches, ces deux mots vont bien à la plus parisienne des Allemandes, la plus hollywoodienne des Françaises. Mais revenir aux racines, à l’Allemagne qui l’a vue naître, c’est ce dont on voudrait s’entretenir avec elle. Parce que c’est en Allemagne, à Hambourg, qu’elle a tourné ce qui restera l’un des films essentiels de sa carrière : In the Fade, de Fatih Akin. Cette formule-là, «un film essentiel», on l’a tant de fois servie qu’il est permis à celles et ceux qui nous lisent de ne plus la croire. D’abord, c’est une formule qui dépend souvent du succès commercial. Pas là. Akin n’est pas un cinéaste commercial.Il a quelques beaux succès d’auteur à son actif, que l’on repense au génial Head On en 2004, ou à ce film divisé, qui manqua de peu la Palme d’or 2007, De l’autre côté, qui parlait d’Istanbul politiquement en feu, de cette Turquie où Akin, enfant de Hambourg (il y est né en 1973), a ses origines. In the Fade a clivé lors de sa présentation à Cannes en mai dernier. Il ne pouvait en être autrement devant un film qui affronte une foule de questions et se transforme deux ou trois fois (dont une fois en film de procès et une autre fois en western moderne) pour essayer deleur apporter une réponse. Mais c’est surtout le film qui a permis à Diane Kruger de remporter le Prix d’interprétation cannois.
  • Lachlan Bailey pour Vogue Paris

    Alors forcément, c’est important. Forcément, ça va compter.Forcément, la presse va écrire : « film phare ». Sauf qu’encore une fois, ce prix, magnifique, mérité, est une splendide cerise sur un puissant gâteau. L’important pour elle est ailleurs : elle devait faire ce film, en Allemagne où elle n’avait encore jamais tourné. »Mais jusque-là, il n’y avait aucune proposition de leur part. Peut-être m’en ont-ils voulu… » De quoi pourrait-on bien en vouloir à Diane Kruger ? Faites un sondage auprès des journalistes, des gens du métier,elle est à la fois admirée et toujours qualifiée d’adorable. C’est quelqu’un qui parle sans filtre et vous fait oublier sa célébrité.On soupçonne même qu’elle préférerait marcher dans les rues sans cette aura qu’elle dégage, qu’elle a toujours dégagée. Quand elle était mannequin d’abord, puis quand, à partir de 2002, le cinéma est venu à elle et qu’elle s’est laissée approcher par cette machine compliquée, qui change beaucoup de monde. Mais pas elle.Alors pourquoi l’Allemagne lui en voudrait ? « L’éloignement. Ma carrière, je l’ai faite entre la France et les États-Unis. » Oubliant au passage de jouer ce que Fassbinder appelait « une femme allemande », ce qui veut dire un personnage qui porte les choix et les accidents de son pays à bout de bras. »Mais c’est normal : d’abord je suis partie d’Allemagne il y a vingt-cinq ans. Et quand j’en suis partie, je n’étais pas actrice,ce qui veut dire que je n’ai pas d’agent là-bas. Il a fallu que je vienne à eux. » Qu’elle vienne à Fatih.

    Découvrez la suite de l’entretien dans le numéro de février de Vogue Paris, en kiosques le 26 janvier prochain.

Par Philippe Azoury le 17 Janvier 2018

Source: Vogue

Engageons-nous en faveur des aires marines protégées

Le réchauffement climatique, la pollution et la surpêche poussent nos océans au bord de l’effondrement. La sécurité alimentaire et les moyens de subsistance de milliards de personnes sont en jeu.

Le temps presse pour notre planète bleue.

 

UNICEF FOR EVERY CHILD
An 11-year-old Palestinian girl sits on the rubble of a house in Khan Yunis in the Gaza Strip.UNICEF works in over 190 countries and territories to save children’s lives, to defend their rights, and to help them fulfil their potential, from early childhood through adolescence. And we never give up.

Discover UNICEF’s work for every child, everywhere.

 

Night freeriding

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source: National Geographics

Agra, India

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Jaipur, India

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Le renard et la neige – Histoire pour enfants: Rusty

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Un renard est allongé sur le côté, avec sa queue touchant la neige, et semble être en train de rêver. La neige tombe doucement sur lui, ajoutant à la tranquillité de la scène.

INSPIRATION: Histoire pour enfants

Il était une fois, dans une vaste forêt recouverte de neige, un renard roux du nom de Rusty. Rusty était un renard particulièrement rusé et astucieux, aimé de tous les habitants de la forêt pour son esprit vif et son sens de l’humour. Cependant, il y avait une chose que Rusty aimait par-dessus tout en hiver : dormir profondément sous la neige qui tombait.

Un matin d’hiver, Rusty s’était aventuré dans la forêt pour trouver un endroit tranquille où s’endormir. La neige tombait doucement du ciel, recouvrant le sol d’un manteau blanc scintillant. Rusty trouva finalement l’endroit parfait, une petite clairière sous un épais couvert d’arbres. Il se coucha doucement, se lovant en boule et laissant la neige le recouvrir progressivement.

Pendant qu’il dormait, la neige continua de tomber en gros flocons duveteux, transformant la forêt en un paysage hivernal féerique. Les animaux de la forêt étaient émerveillés par la beauté de la neige fraîche, mais ils savaient aussi que Rusty était quelque part sous cette couverture blanche. Ils voulaient s’assurer qu’il était en sécurité.

Alors, un groupe d’amis animaux, comprenant Grisette la chouette, Lapinou le lapin, et Bichette la biche, se mit en route pour retrouver Rusty. Ils se sont déplacés avec précaution à travers la forêt, suivant les traces légères du renard dans la neige fraîche.

Finalement, ils arrivèrent à la clairière où Rusty s’était endormi. La neige était si épaisse que seuls ses oreilles pointues et une petite partie de son pelage roux étaient visibles. Les amis animaux sourirent et décidèrent de faire quelque chose de spécial pour leur ami renard.

Grisette la chouette commença à chanter une douce chanson hivernale, Lapinou le lapin dansa gracieusement autour de Rusty, et Bichette la biche agita doucement sa queue, créant une brise légère pour secouer la neige des arbres et la faire tomber doucement sur Rusty.

Sous l’effet de la chanson, de la danse et de la brise, Rusty commença à bouger doucement dans son sommeil. Ses yeux s’ouvrirent lentement, révélant un éclat de surprise et de joie. Il se leva, secoua la neige de son pelage et remercia chaleureusement ses amis.

Tous les animaux de la forêt partagèrent un délicieux festin hivernal pour célébrer la fin de l’hiver. Rusty raconta ses rêves d’aventures et de découvertes sous la neige, et tout le monde rit et sourit, sachant que l’amitié et la magie de l’hiver les avaient unis ce jour-là.

Et c’est ainsi que Rusty, le renard roux, apprit que l’hiver pouvait réserver de belles surprises, même sous une épaisse couche de neige.

Source: National Geographics