Nageurs capables d’atteindre 180 mètres de profondeur

Il était une fois, dans une forêt dense et enneigée, une chouette extraordinaire du nom de Lumi. Lumi était différente des autres chouettes. Elle était plus grande, plus sage et avait des plumes d’un gris et blanc éclatant, presque aussi brillant que la neige qui recouvrait la forêt en hiver. Mais ce qui rendait Lumi vraiment unique, c’était sa compassion pour les créatures de la forêt, en particulier pour les êtres humains.
Un jour, alors que la neige tombait en abondance, une jeune femme du nom d’Elsa se retrouva perdue dans la forêt glaciale. Elle avait été prise dans une tempête de neige soudaine et avait perdu sa route. Frigorifiée et épuisée, elle s’effondra au pied d’un grand chêne, à bout de forces.
C’est alors que Lumi, la chouette, survola la forêt à la recherche de nourriture. Elle repéra Elsa, immobile et recouverte de neige. Lumi savait qu’elle devait agir rapidement pour la sauver. La chouette atterrit doucement à côté d’Elsa et, déployant ses ailes d’une envergure impressionnante, les étendit au-dessus d’elle comme un abri protecteur contre les éléments. Ses plumes blanches se resserrèrent autour de la jeune femme, la protégeant du froid glacial de la tempête.
Lentement, la chaleur de Lumi commença à se diffuser vers Elsa. Ses yeux clignèrent, puis s’ouvrirent lentement. Elle se sentit enveloppée dans une chaleur apaisante et réalisa qu’elle était en sécurité. Elle serra la chouette dans ses bras pour la remercier, et Lumi se laissa caresser, appréciant la douceur du geste.
Elsa et Lumi partagèrent un moment de connexion profonde. La chouette, avec ses sages yeux dorés, sembla dire à Elsa de ne pas avoir peur. En utilisant sa chaleur corporelle et son abri protecteur, Lumi permit à la jeune femme de se remettre de l’évanouissement.
Finalement, Elsa se sentit suffisamment forte pour se lever, remercier la chouette et reprendre sa route. Lumi l’accompagna un bout de chemin, la guidant hors de la forêt jusqu’à ce qu’Elsa retrouve sa route vers la sécurité.
À partir de ce jour, Elsa garda un souvenir chaleureux de la chouette exceptionnelle qui l’avait sauvée de la neige et du froid. Elle partagea cette histoire avec les autres, rappelant à tous que même les créatures les plus inattendues de la nature peuvent être des anges gardiens lorsque l’on en a le plus besoin. Et Lumi, la chouette blanche au cœur généreux, continua à veiller sur la forêt et ses habitants, prête à protéger et à offrir sa chaleur à ceux qui en avaient besoin.
The Ruth Gorge in Alaska is home to some of the biggest granite walls in the world, the most pristine blue glacial pools, and yet some of the most unpredictable and inclement weather. This summer the window wasn’t right to attempt the first free ascent of Mt Dickey, so friends and climbing partners @alexhonnold (pictured here) and Renan spent most of their time stuck in a soggy tent discussing some of life biggest questions. The result is a short film we made called Life Coach, a vulnerable portrait of the realities of adventure filmmaking and the challenges of balance and passion that we all face as humans. Search « Life Coach Renan » online to find the link to the film! ~ @freddiewilkinson @rudy.le @landonbassett
natgeoPhoto by @renan_ozturk // Words by @taylorfreesolo //
Rencontre avec Diane Kruger, bouleversante dans « In the Fade »
Entre Hollywood et Paris, Diane Kruger avait presque oublié d’où elle venait. Son premier film allemand, « In the Fade », lui a valu le prix d’interprétation à Cannes et l’a fait renouer avec son pays. Elle est devenue Katja, qui voit mourir son mari et son fils dans un attentat raciste. Un rôle qui a durablement bouleversé l’actrice.
Alors forcément, c’est important. Forcément, ça va compter.Forcément, la presse va écrire : « film phare ». Sauf qu’encore une fois, ce prix, magnifique, mérité, est une splendide cerise sur un puissant gâteau. L’important pour elle est ailleurs : elle devait faire ce film, en Allemagne où elle n’avait encore jamais tourné. »Mais jusque-là, il n’y avait aucune proposition de leur part. Peut-être m’en ont-ils voulu… » De quoi pourrait-on bien en vouloir à Diane Kruger ? Faites un sondage auprès des journalistes, des gens du métier,elle est à la fois admirée et toujours qualifiée d’adorable. C’est quelqu’un qui parle sans filtre et vous fait oublier sa célébrité.On soupçonne même qu’elle préférerait marcher dans les rues sans cette aura qu’elle dégage, qu’elle a toujours dégagée. Quand elle était mannequin d’abord, puis quand, à partir de 2002, le cinéma est venu à elle et qu’elle s’est laissée approcher par cette machine compliquée, qui change beaucoup de monde. Mais pas elle.Alors pourquoi l’Allemagne lui en voudrait ? « L’éloignement. Ma carrière, je l’ai faite entre la France et les États-Unis. » Oubliant au passage de jouer ce que Fassbinder appelait « une femme allemande », ce qui veut dire un personnage qui porte les choix et les accidents de son pays à bout de bras. »Mais c’est normal : d’abord je suis partie d’Allemagne il y a vingt-cinq ans. Et quand j’en suis partie, je n’étais pas actrice,ce qui veut dire que je n’ai pas d’agent là-bas. Il a fallu que je vienne à eux. » Qu’elle vienne à Fatih.
Découvrez la suite de l’entretien dans le numéro de février de Vogue Paris, en kiosques le 26 janvier prochain.
Source: Vogue
Le réchauffement climatique, la pollution et la surpêche poussent nos océans au bord de l’effondrement. La sécurité alimentaire et les moyens de subsistance de milliards de personnes sont en jeu.
Le temps presse pour notre planète bleue.